
VOTRE AGENCE IMMOBILIÈRE CITOVENDU
VOUS INFORME
L'immobilier dans les Pyrénées-Orientales
Les Pyrénées-Orientales, situées dans la région Occitanie en France, offrent un marché immobilier dynamique et attrayant. Notre département bénéficie d'un emplacement privilégié, avec ses magnifiques plages de la Méditerranée, ses paysages montagneux à couper le souffle et sa proximité avec l’Espagne.
L'immobilier résidentiel présente une grande diversité avec ses charmants villages traditionnels aux stations balnéaires animées, il y en a pour tous les goûts.
La Côte Vermeille, qui s'étend de Collioure à Cerbère, est réputée pour son charme pittoresque et ses criques isolées. Les propriétés en bord de mer sont très recherchées, offrant une vue imprenable sur la Méditerranée et un accès facile aux plages et aux activités nautiques.
Le massif des Albères et l’'arrière-pays regorge de biens offrant calme et tranquillité, entourés par la beauté naturelle de la région.
L'immobilier dans les Pyrénées-Orientales reste relativement abordable par rapport à d'autres régions côtières françaises.
Cependant, les prix varient en fonction de l'emplacement et des caractéristiques du bien. Votre agence immobilière CITOVENDU peut vous aider à trouver votre bonheur que ce soit proche de la mer ou en ville.
Investir dans l'immobilier dans les Pyrénées-Orientales est être attractif, que ce soit comme résidence principale, résidence secondaire ou pour un investissement locatif. La région bénéficie d'un fort attrait touristique tout au long de l'année, ce qui peut être un avantage pour la location saisonnière.
Pour résumer, l'immobilier dans les Pyrénées-Orientales offre une variété de biens adaptés vos besoins et budgets. Que vous recherchiez une maison de vacances en bord de mer ou une propriété dans un cadre rural paisible, votre agence immobilière CITOVENDU à 66740 Montesquieu des Albères vous accompagnera pour votre projet d'achat, de vente ou bien encore d'investissement.


Tous les éléments structurants ou les constructions qui vont faire prendre de la valeur à votre bien doivent être déclarées au service des impôts.
Lorsque vous effectuez des travaux chez vous, il y a de nombreuses situations dans lesquelles vous avez l'obligation de les déclarer au fisc. Tour d'horizon.
Les travaux qui modifient un terrain ou un bâtiment existant
Toute modification structurelle d'un bien immobilier doit être déclaré aux services des impôts dans les 90 jours calendaires. Il s'agit de tous les "changements de consistance ou d'affectation des propriétés bâties et non bâties", comme l'indique l'article 1406 du Code général des impôts.
Plus concrètement, comme le précise le site service-public.fr, une déclaration est nécessaire en cas:
- de surélévation
- de démolition partielle ou totale
- de division d'un bâtiment en appartements
- de réunion de plusieurs appartements en un seul logement
- de transformation d'une dépendance en pièce d'habitation
- d'agrandissement
Les éléments déclarés vont notamment permettre au fisc de recalculer les surfaces et les valeurs locatives cadastrales, qui servent de base de calcul pour la taxe foncière et la taxe d'habitation (qui existe toujours pour les résidences secondaires et les logements vacants).
Ces travaux entraîneront par ailleurs le paiement d'une taxe d'aménagement, qui se paiera en une seule fois (voir plus bas).
Les abris de jardin et les piscines
C'est la même logique qui s'applique pour des travaux qui peuvent paraître moins structurants mais qui augmentent la valeur de votre logement aux yeux du fisc et donc vos impôts locaux. "Toute nouvelle construction est concernée s'il est impossible de la déplacer sans la démolir (on dit qu'elle est fixée au sol à perpétuelle demeure)", résume le site service-public.fr sur cette autre page.
On pourra citer par exemple:
- les terrasses
- les piscines
- les vérandas
- les abris de jardin
- les garages
- les panneaux solaires
On notera que le propriétaire doit payer une taxe d'aménagement, que l'on surnomme parfois aussi "taxe sur les abris de jardin". En réalité, cette taxe s'applique pour toutes les constructions, reconstructions ou agrandissements de bâtiments lorsqu'on a besoin d'un permis de construire, d'un permis d'aménager ou d'une autorisation préalable.
"La taxe d’aménagement est due pour toute création de surface de plancher close et couverte dont la superficie est supérieure à 5 m2 et d’une hauteur de plafond supérieure ou égale à 1,80 mètre, y compris les combles et les caves. Les abris de jardin (même démontables) ou toute autre annexe que vous seriez susceptible de construire à l’extérieur de votre maison entrent aussi dans le champ de la taxe d'aménagement", précise Bercy sur cette page. Pour les piscines et les panneaux solaires, une taxe d'aménagement forfaitaire (en fonction de la surface) s'applique. En revanche, cela ne s'applique pas aux autres installations ouvertes comme les terrasses.
Les logements neufs
Le fisc réclame aussi qu'un propriétaire transmette une déclaration après l'achèvement d'une maison individuelle neuve (déclaration modèle H1) ou d'un appartement neuf (déclaration modèle H2).
En cas de changement de destination d'un bien
Si vous transformez un local pour en changer de destination (par exemple afin de passer d'un local à usage commercial à un local à usage d'habitation), vous devez également le déclarer au fisc. Cette fois-ci, il faudra remplir la déclaration modèle IL.
Votre agence immobilière Citovendu pourra vous orienter vers le professionnel adapté à votre situation.
Nous sommes à votre service au 046889364 ou bien à contact@citovendu.fr
Malgré le contexte géo-politique instable, les banques restent du côté des emprunteurs et proposent des taux pour les crédits immobiliers stables, voire en baisse pour le mois de mai.
Après un léger rebond en avril dû au climat politique instable, les taux se montrent stables, voire baissent chez certaines banques en mai. Le vent de panique sur les marchés boursiers a laissé place à l’accalmie, et la nouvelle baisse des taux directeurs décidée par la BCE, en soutien à l’économie européenne, rassure les experts.
Selon les données de Pretto, les taux moyens constatés en avril s’établissent comme suit : 2,89% sur 15 ans, 2,99% sur 20 ans et 3,05% sur 25 ans.
Les banques revoient leur grille de taux
Lancée le 2 avril lors du “Liberation Day”, la guerre douanière de Donald Trump a secoué l’économie mondiale. En élevant de 10% ses tarifs douaniers et en imposant des surtaxes à l’ensemble de ses partenaires commerciaux (à l’exception de la Russie), l’Amérique a déclenché un vent de panique sur les marchés boursiers, en baisse plusieurs jours de suite.
Un krach qui n’a pas épargné le marché obligataire américain. Et c’est la hausse du T-Bond (+0,5 point) et les doutes sur la solvabilité des US qui a finalement poussé le président à reculer. La pause de 90 jours de ces tariffs supplémentaires, loin d’avoir ôté toute incertitude sur l’avenir, a du moins calmé les marchés financiers.
C’est dans ce contexte instable qu’on observe une stabilisation voire une baisse des taux immobiliers. Un recul dû au niveau de l’OAT, en net recul (3,3%), qui permet aux banques d’emprunter pour un coût plus faible et qui les encourage à revoir leur grille de taux.
La BCE, l’alliée des emprunteurs
La nouvelle baisse des principaux taux directeurs décidée par la BCE le 17 avril confirme la politique de soutien de la banque centrale à l’économie européenne. En passant son taux de 2,5 à 2,25%, elle permet aux entreprises – dont les banques – de profiter d’un argent moins cher. Avec pour objectif affiché de stimuler l’investissement.
Les banques nationales, qui empruntent sur les marchés financiers, ont donc plus de marge de manœuvre pour proposer des grilles de taux à la baisse. De quoi soutenir leur politique de conquête, notamment en direction des jeunes et des primo-accédants. Depuis déjà plusieurs mois, elles sont nombreuses à multiplier les offres alléchantes et autres décotes pour les meilleurs profils, qui se voient proposer des lignes de taux préférentiels.
Une décision qui tombe à pic, alors que le marché de l’immobilier confirme sa relance au premier trimestre 2025. Hausse de la demande, légère baisse des prix (-1,9% selon une étude de Bien’ici) et taux immobiliers en recul offrent le combo parfait pour lancer le traditionnel printemps de l’immobilier.
« Malgré les soubresauts économiques et géopolitiques récents, le mouvement de baisse des taux devrait se poursuivre dans les prochains mois », estime Pierre Chapon, co-fondateur du groupe Pretto. « Sauf nouveau choc majeur, nous anticipons des taux moyens autour de 3% cet été. Une bonne nouvelle pour les emprunteurs alors que le marché immobilier reprend des couleurs. »
Citovendu votre agence à. 66740 Montesquieu des Albères vous accompagne dans votre projet de vente ou d’achat.
Le PTZ, l’atout des emprunteurs
Longtemps annoncé, le PTZ élargi est entré en application le 1er avril. Plafonds de revenus revus à la hausse, fin du zonage, intégration des maisons neuves individuelles dans le dispositif… Le prêt à taux zéro nouvelle version offre une véritable bouffée d’air aux emprunteurs, lesquels ont vu leur pouvoir d’achat immobilier grignoté par la hausse des taux subie de 2022 à fin 2023. En prenant en charge jusqu’à 50% du montant de l’acquisition, le PTZ améliore à la fois la capacité d’emprunt des acheteurs tout en leur permettant de faire des économies sur le coût de leur crédit. Un rapport gagnant-gagnant qui en fait un véritable atout.
“Mieux maîtrisé par les banques et annoncé en grandes pompes, le PTZ élargi est un véritable “game changer” pour les emprunteurs. Il va à coup sûr devenir incontournable pour toutes celles et ceux qui peuvent en bénéficier” analyse Pierre Chapon, co-fondateur du groupe Pretto. “Avec 55% de PTZ en plus par rapport à la même période l’année dernière, nous constatons que le mouvement est déjà bien enclenché.”
Exemple concret avec un cas client
Prenons l’exemple d’un jeune couple de primo-accédants souhaitant acheter un appartement à Asnières, dans les Hauts-de-Seine (92). Avec leurs 70 000€ de revenus nets annuels avant impôts et leurs 40 000€ d’apport, ils peuvent viser un bien à 300 000€ dans l’ancien. Auxquels il faut ajouter 28 000€ de frais (notaire, banque, courtier). Montant total emprunté = 288 000€. Taux obtenu : 3,2% sur 25 ans. Mensualité : 1410€. Et dans le neuf, alors ?
- Prêt à taux zéro oblige, leur capacité d’emprunt prend un sérieux coup de boost : 360 000€, soit 60 000€ de plus (ou 9 m², si on tient compte des prix moyens dans la commune). Ils bénéficient de 110 000€ de PTZ et de 30 000€ de prêt Action Logement, soit 140 000€ de prêt bonifié (soit presque 50% du crédit).
- Les frais de notaire étant réduits dans le neuf, ils n’ont à y ajouter “que” 16 000€. Montant total emprunté = 336 000€.
- Dans le neuf, leur mensualité s’élève toujours à 1 410€ mais leur taux moyen (combinant leurs différentes lignes de prêt) tombe à 1,92%. Et l’impact sur le coût total du crédit est énorme. Comptez 131 000€ dans l’ancien contre 87 000€, soit 44 000 euros de moins sur la facture.
L’augmentation des droits de mutation à titre onéreux (DMTO), déjà effective dans près d’un quart des départements depuis le 1er avril, s’étend à une dizaine de départements supplémentaires. Une hausse de 0,5 point qui n’est pas pour réjouir les acquéreurs. Ainsi pour un bien de 300 000 euros, il faudra débourser 1 500 € supplémentaires.
Sur le secteur des Albères, Argelès-sur-Mer, Brouilla, Ortaffa, Banyuls et les 66740 et 66690, votre agence immobilière Citovendu vous offre un accompagnement personnalisé pour votre achat ou votre vente. A très vite

Depuis 2016 votre agence immobilière basée à Montesquieu des Albères (66740) vous accompagne dans votre projet immobilier.
Pour un achat ou une vente ayez le reflex Citovendu !

AGENCE IMMOBILIÈRE CITOVENDU
Évolution des taux de crédit immobilier en 2025 : nouvelles perspectives pour les acquéreurs avec Citovendu immobilier
En avril 2025, les taux d'intérêt immobiliers en France poursuivent leur tendance à la baisse amorcée fin 2024, bien que des fluctuations mineures soient observées. Cette évolution offre des conditions d'emprunt plus favorables, notamment pour les emprunteurs disposant de bons profils.
E-immobilier
Selon les données de Pretto, les meilleurs taux observés fin avril 2025 sont :2,92 % sur 15 ans / 3,03 % sur 20 ans / 3,12 % sur 25 ans
Ces taux sont légèrement supérieurs à ceux du mois précédent, avec une hausse de 0,01 à 0,05 point en moyenne, principalement due à des facteurs géopolitiques et économiques récents .
Pretto
D'autres courtiers, comme CAFPI, rapportent des taux moyens similaires :
3,08 % sur 15 ans / 3,07 % sur 20 ans / 3,20 % sur 25 ans
Ces chiffres confirment une tendance générale à la baisse des taux, bien que des variations existent selon les établissements et les profils des emprunteurs .
Perspectives pour le reste de 2025
Les prévisions pour les mois à venir suggèrent une poursuite de cette baisse modérée des taux. Par exemple, les projections indiquent des taux moyens autour de :
3,05 % sur 15 ans / 3,06 % sur 20 ans / 3,20 % sur 25 ans
pour mai 2025, avec une tendance à la baisse jusqu'à octobre 2025 .
Réassurez-moi
Cette évolution est influencée par plusieurs facteurs :
La réduction progressive des taux directeurs par la Banque centrale européenne (BCE), visant à stimuler l'économie .
Une inflation mieux maîtrisée, permettant aux banques de proposer des conditions d'emprunt plus attractives .
Une concurrence accrue entre les établissements bancaires, cherchant à attirer de nouveaux clients en proposant des taux compétitifs .
Impact sur le marché immobilier
La baisse des taux d'intérêt contribue à rendre l'emprunt plus accessible, ce qui pourrait dynamiser le marché immobilier français. Cependant, cette tendance pourrait également entraîner une hausse des prix de l'immobilier, en particulier dans les zones tendues, en raison d'une demande accrue .
En résumé, les taux immobiliers en France en 2025 montrent une tendance à la baisse, offrant des opportunités intéressantes pour les emprunteurs. Il est conseillé de surveiller l'évolution des taux et de comparer les offres des différents établissements pour bénéficier des meilleures conditions.
La Côte Vermeille, "saturée et trop chère pour les gens d'ici", perd chaque année des habitants
Selon l'Insee, entre 2015 et 2021, les communes de la Côte Vermeille ont toutes vu leur population diminuer alors que les Pyrénées-Orientales font partie des départements les plus attractifs de France. Comment expliquer ce décalage ?
Des villages de cartes postales, connus à travers la France, qui perdent leurs habitants petit à petit. C'est la situation à laquelle font face toutes les communes de la Côte Vermeille ces dernières années. Banyuls-sur-Mer, Cerbère, Collioure ou encore Port-Vendres sont concernées. Ces villes attirent moins alors que globalement, les Pyrénées-Orientales connaissent un pic d'attractivité depuis 2015.
Selon les derniers chiffres de l'Insee publiés le 28 décembre 2023, le département a gagné 16.269 habitants en six ans, et se classe troisième en Occitanie, en termes de croissance de population. Mais sur la Côte Vermeille, le scénario est tout autre : en 2021, Banyuls-sur-Mer comptait 4.671 habitants (-100 par rapport à 2015), Collioure 2.517 (-321), Cerbère 1.257 (-92) et Port-Vendres 3.969 (-226).
Toujours la carte postale... pour les touristes
Des chiffres qui s'expliquent assez facilement selon les habitants. À Port-Vendres, tout le monde est unanime : "La ville est saturée et trop chère pour les gens d'ici" s'exclame en chœur un groupe d'amies installées sur un banc de la place de l'Obélisque. "Mon petit-fils est parti l'an passé. Ici c'était impossible pour lui d'acheter malgré un bon salaire", nous confie l'une d'elle.
La commune de Montesquieu des Albères (66740), offre des possibilités d'achats à des prix plus attractifs que la côte.
Du côté des commerçants, la plupart aussi ont eu du mal à se loger : "On a cherché ici, mais il n'y avait rien qui correspondait à nos revenus, et pas beaucoup de logements à vendre." Ce couple qui tient son commerce sur les quais a donc préféré investir sur Saint-André. D'autres bénéficient d'un appartement au-dessus de leur boutique, sans lequel ils n'auraient pas pu s'installer sur la commune.
Contacté, le maire de Port-Vendres, Grégory Marty, précise que "ce n'est pas tant qu'on perd des habitants, c'est plutôt une mutation, avec davantage de résidences secondaires".
"La Côte Rocheuse est très plébiscitée des investisseurs français et étrangers pour faire des logements saisonniers" nous explique Jérome Auberthié, directeur commercial de l'agence Domians Immobilier. "Le marché est très différent de celui de Perpignan, par exemple pour la même surface il faut compter plus du double pour financer un achat".
Résidence secondaire d'une clientèle étrangère
À plus de 3.000 euros le mètre carré, les acheteurs principaux ne sont pas les locaux. "On a beaucoup de Parisiens, des Belges, des Anglais aussi qui veulent une résidence secondaire à Port-Vendres."
Une clientèle avec un pouvoir d'achat plus élevé qui s'accapare les résidences de la Côte Vermeille au détriment des locaux plutôt remontés, comme Josiane : "Quand on voit les difficultés d'accès à la propriété pour les jeunes, ça me révolte, après ce sont des choix, on privilégie le tourisme" s'agace Josiane.
Dans sa ligne de mire, "les Airbnb loués hors de prix mais aussi toutes les résidences secondaires qui restent des logements vacants plus de la moitié de l'année". C'est aussi le constat fait par Jérôme Auberthié. "Cette frange d'acheteurs, on la voit rarement sur place, un ou deux mois dans l'année tout au plus, ensuite les volets restent fermés jusqu'à l'année suivante".
À Port-Vendres, selon les données 2020 de l'Insee, 58% des logements étaient des résidences secondaires.
Les prix s'envolent
Des habitants saisonniers qui font peu à peu monter le prix de ces biens immobiliers prisés sur un marché déjà très difficile. "Avec les salaires moyens dans les Pyrénées-Orientales, impossible de faire passer un dossier pour acheter sur la Côte Vermeille", renchérit Jérôme Auberthié.
Et les solutions se font rares. "Entre la loi littoral, les terrains militaires, et l'existant, il n'y a plus de terrains à bâtir, à moins de creuser la roche et de pouvoir se permettre d'amortir des frais de terrassement" précise un second agent immobilier de Port-Vendres.
Ce n'est donc pas faute de candidats intéressés pour s'installer que les communes de la Côte se dépeuplent petit à petit, mais plutôt à cause du marché. Il y a une inadéquation entre le pouvoir d'achat des habitants du département, leur capacité d'emprunt et l'offre immobilière. "Les jeunes issus du terroir ne peuvent pas s'installer donc ils vont voir ailleurs, dans l'arrière pays, où ils peuvent s'acheter une petite maison avec jardin pour le même budget qu'un 30 mètres carrés ici" constate Josiane.
Les jeunes, cible numéro 1
Mais pour Guy Llobet le maire de la ville de Collioure, aussi concernée par cette baisse démographique entre 2015 et 2021, il faut quand même nuancer cette tendance. Selon le dernier recensement communal de 2023 (donc plus récent que l'étude globale de l'Insee qui porte sur 2015-2021), sa politique volontariste sur le logement commencerait à porter ses fruits. Entre 2021 et 2023, Collioure a retrouvé 239 habitants.
Et sa priorité ce sont les jeunes. "Les logements sociaux sont en priorité accordés aux familles avec des enfants" explique-t-il. Un projet de construction de 23 logements va également débuter en février pour livraison dans un an et demi. 12 logements seront en accession à la propriété et 11 en locatif.
"Les prix pratiqués seront les prix publics, pour faciliter l'installation de 23 familles car aujourd'hui, à 4.000 euros du mètre carré, les jeunes s'en vont, ils ne peuvent pas acheter" constate Guy Llobet. Avec ce programme, il espère aussi pouvoir dynamiser l'école et continuer d'ouvrir des classes, comme en 2022, car "sur la Côte Vermeille, on vit, ce n'est pas juste la carte postale", souligne-t-il.
Pour votre achat ou votre vente, votre agence immobilière CITOVENDU vous accompagne dans tous vos projet. Appelez-nous au 0468893664 ou au 0666885540.
Balcon, extérieur, piscine … Ces caractéristiques qui font grimper les prix de l’immobilier
Dans un contexte baissier pour le marché de l’immobilier les biens avec balcon, terrasse, jardin ou piscine se vendent toujours plus cher.
Balcon, terrasse, jardin, piscine… Les accès extérieurs ont-ils conservé la côte qu’ils avaient obtenu post pandémie ? Quelle valeur ajoutée représentent-ils désormais, dans un contexte baissier pour le marché de l’immobilier ? Meilleurs Agents, spécialiste de l’estimation en ligne, révèle l’impact des accès extérieurs sur le prix des biens dans les 50 plus grandes villes de France.
En 3 ans, le prix des appartements ayant un balcon ou une terrasse a augmenté en moyenne de +21,5%
Alors que les prix de l’immobilier ont augmenté de +16,5% dans les 50 plus grandes villes de France sur les trois dernières années, il semblerait que les appartements avec accès extérieurs aient porté cette dynamique. Sur ces grandes métropoles et sur les trois dernières années, le prix des appartements ayant un balcon ou une terrasse a augmenté en moyenne de +21,5% contre seulement +15% pour ceux qui n’en possèdent pas.
Un appartement avec balcon ou terrasse se valorise +9,7% plus cher dans les 50 plus grandes villes de France
Même si le boom post-Covid des prix des biens avec balcon ou terrasse a récemment atteint son plafond de verre en février dernier, cette caractéristique reste un atout à la revente. De fait, la présence d’un balcon ou d’une terrasse représente à date une plus-value de +9,7% lors de la revente d’un appartement dans les 50 plus grandes villes de France.
Si l’on se concentre sur les appartements dans les 10 plus grandes villes de France, posséder cet espace extérieur peut constituer une valeur ajoutée de +9,9% en moyenne comparé à un appartement qui ne possède ni balcon et terrasse. Cependant, la valorisation de cette caractéristique est encore plus importante dans certaines villes du Top 10. Ainsi, la présence d’un balcon ou d’une terrasse fait augmenter le prix d’un appartement marseillais en moyenne de +15,4% par rapport à son équivalent sans extérieur, de +10% à Nice et de +9,8% pour un appartement situé à Montpellier suivant la même logique.
Concrètement en terme de plus-value au 1er mai 2023, un appartement de 45 m² situé à Lyon sans accès extérieur se vend en moyenne 5 099€ du m² contre 5 441€ pour un même bien qui dispose d’un balcon ou d’une terrasse, soit une différence de prix total de 15 373 € !
“En France et particulièrement dans les grandes villes, le marché se contracte, avec notamment des prix en baisse et des taux de négociation de prix qui augmentent. Nous avions observé un réel engouement pour les balcons et terrasses à partir du début d’année 2021, dans un contexte post-crise sanitaire. Cette tendance n’est plus d’actualité en 2023, avec une hausse de prix moyenne autour de +2% depuis 1 an pour les 2 types de biens. Toutefois, il est clair que les appartements dotés de balcon ou de terrasse auront plus de force à la négociation que ceux n’en disposent pas, surtout dans les secteurs où la demande est plus importante”, analyse Barbara Castillo Rico, Responsable des études économiques chez Meilleurs Agents.
+4,2% pour une maison avec un jardin
En 2023, le jardin n’est plus seulement un espace supplémentaire mais un critère de choix important pour les Français. Ce constat, votre agence Citovendu de Montesquieu des Albères l'a également fait. Ainsi dans les 50 plus grandes villes de France, une maison avec un extérieur tel qu’un jardin se valorise en moyenne +4,2% plus cher qu’un bien comparable sans extérieur, une valeur ajoutée qui atteint +7% dans les dix plus grandes villes de France.
+7,6 % pour un bien avec piscine
La présence d’une piscine est un autre atout de taille pour améliorer la qualité de vie… Et augmenter la valeur immobilière d’un bien ! Dans les 50 plus grandes métropoles de France, cette valeur ajoutée s’élève à +7,6 % en mai 2023. Votre agence immobilière Citovendu dispose en portefeuille de biens avec piscine. N'hésitez pas à nous contacter au 046889364 ou bien vous rendre sur notre site www.citovendu.fr.
« Alors que les interdictions de construction de piscines privées se multiplient en France suite à l’épisode de sécheresse de l’été 2022, la présence d’une piscine représente toujours un facteur clé de plus-value à la revente. Dans un contexte inflationniste, il est toutefois primordial d’estimer correctement la valeur de son bien et les travaux nécessaires à la réalisation de la piscine pour s’assurer d’une réelle valeur ajoutée. La décision d’investir doit être prise en fonction des circonstances individuelles de chaque propriétaire et de son objectif à long terme pour la propriété», précise Barbara Castillo Rico.
Source : Meilleurs Agents
Votre agence immobilière Citovendu à 66740 Montesquieu des Albères vous informe :
Le coût de l'assurance peut représenter jusqu'à 30 % du coût total du crédit et grâce à la loi Lemoine, vous pouvez changer d'assurance emprunteur à tout moment.
Cela vous permettra de faire jouer plus facilement la concurrence et de réaliser des économies significatives.
OUI l'assurance emprunteur est une protection essentielle pour les personnes contractant un prêt immobilier notamment pour l'invalidité, le décès ou la perte d'emploi.
Néanmoins l’emprunteur qui souhaite changer d'assureur ou renégocier son contrat afin d'obtenir de meilleures conditions pense encore que cela reste compliqué. Heureusement, avec la loi Lemoine, les choses ont changé.
Cette loi permet d’offrir à l’emprunteur une plus grande liberté de choix en matière d'assurance emprunteur et à rendre le marché plus compétitif.
Elle a introduit plusieurs changements importants et notamment :
- la résiliation du contrat d'assurance emprunteur à tout moment ;
- l’instauration d’un droit à l'oubli réduit à 5 ans le droit pour les anciens malades du cancer et d'autres maladies chroniques ;
- et enfin la suppression du questionnaire de santé pour les emprunts inférieurs à 200.000 € par assuré et dont l'échéance de remboursement intervient avant les 60 ans de l'emprunteur.
Donc comparez les offres du marché, souscrivez votre nouvelle assurance emprunteur et faites votre demande de résiliation.
Plus simple et plus rapide la résiliation de l'assurance emprunteur est plus accessible grâce à la loi Lemoine et à la résiliation en trois clics.
En adhérant à une nouvelle assurance emprunteur plus avantageuse, vous améliorez votre pouvoir d'achat immobilier et bénéficiez de meilleures conditions financières.
Pour votre achat ou votre vente immobilière, votre agence immobilière Citovendu vous accompagne dans tous vos projets au 0468893664 ou à contact@citovendu.fr
Classés F ou même G, ces petits logements vont voir leurs notes s'améliorer en juillet, nous explique une étude PriceHubble révélée en exclusivité par BFM Business. Une bonne nouvelle pour certains propriétaires ou pour certains investisseurs. Explications.
Le gouvernement a annoncé des ajustements pour permettre aux petits logements particulièrement défavorisés par le mode de calcul du DPE, d'obtenir de meilleures notes. Le spécialiste de l'analyse de données PriceHubble nous a fourni en exclusivité son étude d'impact.
• Pour 81% des petits logements G, rien ne changera
Premier cas, celui des logements C qui seront interdits à la location le 1er janvier prochain. Selon PriceHubble seuls 2% des logements G de moins de 40m2 vont passer en E grâce aux ajustements et donc sortir de l'état de passoire thermique. 17% ne gagneront qu'une seule note, ils passeront donc à F ce qui décale de seulement 3 ans les obligations de rénovation puisque ces logements-là seront à leur tour interdits à la location en 2028.
En clair, pour l'immense majorité des petits logements G, 81% précisément, rien ne changera sur la note de DPE.
• Logements classés F: les grands gagnants
En réalité, les grands gagnants des ajustements seront les propriétaires des studios et 2 pièces classés F. Toujours selon PriceHubble, ce sont 33% des biens qui basculeront en E, voire mieux.
• 220.000 logements vont voir leur note s'améliorer
Entre les G et les F, ce sont donc au total 220.000 logements qui sortiront de la catégorie des passoires. Alors qu'aujourd'hui elles représentent près de la moitié des logements de moins de 40m2 on passera à 41% après la réforme. Toutes surfaces confondues, il restera 4.5 millions de passoires thermiques en France.
• Dans quelles métropoles la révision du DPE va-t-elle avoir le plus d'impact ?
C'est à Rennes que les effets de ces changements de règles pour les petites surfaces seront les plus forts. Près d'un tiers des petits logements aujourd'hui classés G vont changer de note. On oscille autour d'un quart de petits logements G en moins pour Marseille, Lille, Strasbourg et Bordeaux.
À l'inverse, les villes pour qui les ajustements auront en proportion le moins d'effets sont Lyon, Nantes, Grenoble et Paris. Dans ces villes environ 80% des petits logements G ne changeront pas de note à l'issue du nouveau mode de calcul. Il faut dire aussi que dans ces villes les passoires sont légion. A Paris par exemple, près de 30% des logements de moins de 40m2 sont classés G !
Et quand on regarde les petits logements F, les bouleversements seront nettement plus forts à Rennes également. Quasiment la moitié d'entre eux vont obtenir automatiquement une meilleure note et ce sera le cas pour un tiers voire plus dans toutes les autres grandes villes !
• Quelles stratégies adopter face à ces changements ?
Les propriétaires d'un petit logement classés passoires thermiques peuvent d'ores et déjà aller sur le site de l'Ademe. Les services publics vont générer automatiquement une nouvelle note à votre logement.
En cas d'amélioration, vous aurez un sursis de quelques années pour faire les travaux et si vous souhaitez vendre, attendez le 1er juillet pour mettre le bien sur le marché, date d'entrée en vigueur des ajustements, car de fait, vous aurez une revalorisation immédiate de votre logement.
Si vous êtes acheteur opportuniste, Stéphane Desquartiers de la Maison de l'investisseur, conseille de se précipiter pour acheter un petit logement F ou G avant le 1er juillet. En ciblant évidemment les villes dans lesquelles les effets de la réforme seront les plus forts (Rennes ou Lille par exemple). L'idée est d'acheter des biens qui ont perdu beaucoup de valeur ces derniers mois et qui en retrouveront aussitôt dès que leur note sera améliorée.