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L'immobilier dans les Pyrénées-Orientales
Les Pyrénées-Orientales, situées dans la région Occitanie en France, offrent un marché immobilier dynamique et attrayant. Notre département bénéficie d'un emplacement privilégié, avec ses magnifiques plages de la Méditerranée, ses paysages montagneux à couper le souffle et sa proximité avec l’Espagne.
L'immobilier résidentiel présente une grande diversité avec ses charmants villages traditionnels aux stations balnéaires animées, il y en a pour tous les goûts.
La Côte Vermeille, qui s'étend de Collioure à Cerbère, est réputée pour son charme pittoresque et ses criques isolées. Les propriétés en bord de mer sont très recherchées, offrant une vue imprenable sur la Méditerranée et un accès facile aux plages et aux activités nautiques.
Le massif des Albères et l’'arrière-pays regorge de biens offrant calme et tranquillité, entourés par la beauté naturelle de la région.
L'immobilier dans les Pyrénées-Orientales reste relativement abordable par rapport à d'autres régions côtières françaises.
Cependant, les prix varient en fonction de l'emplacement et des caractéristiques du bien. Votre agence immobilière CITOVENDU peut vous aider à trouver votre bonheur que ce soit proche de la mer ou en ville.
Investir dans l'immobilier dans les Pyrénées-Orientales est être attractif, que ce soit comme résidence principale, résidence secondaire ou pour un investissement locatif. La région bénéficie d'un fort attrait touristique tout au long de l'année, ce qui peut être un avantage pour la location saisonnière.
Pour résumer, l'immobilier dans les Pyrénées-Orientales offre une variété de biens adaptés vos besoins et budgets. Que vous recherchiez une maison de vacances en bord de mer ou une propriété dans un cadre rural paisible, votre agence immobilière CITOVENDU à 66740 Montesquieu des Albères vous accompagnera pour votre projet d'achat, de vente ou bien encore d'investissement.


Tous les éléments structurants ou les constructions qui vont faire prendre de la valeur à votre bien doivent être déclarées au service des impôts.
Lorsque vous effectuez des travaux chez vous, il y a de nombreuses situations dans lesquelles vous avez l'obligation de les déclarer au fisc. Tour d'horizon.
Les travaux qui modifient un terrain ou un bâtiment existant
Toute modification structurelle d'un bien immobilier doit être déclaré aux services des impôts dans les 90 jours calendaires. Il s'agit de tous les "changements de consistance ou d'affectation des propriétés bâties et non bâties", comme l'indique l'article 1406 du Code général des impôts.
Plus concrètement, comme le précise le site service-public.fr, une déclaration est nécessaire en cas:
- de surélévation
- de démolition partielle ou totale
- de division d'un bâtiment en appartements
- de réunion de plusieurs appartements en un seul logement
- de transformation d'une dépendance en pièce d'habitation
- d'agrandissement
Les éléments déclarés vont notamment permettre au fisc de recalculer les surfaces et les valeurs locatives cadastrales, qui servent de base de calcul pour la taxe foncière et la taxe d'habitation (qui existe toujours pour les résidences secondaires et les logements vacants).
Ces travaux entraîneront par ailleurs le paiement d'une taxe d'aménagement, qui se paiera en une seule fois (voir plus bas).
Les abris de jardin et les piscines
C'est la même logique qui s'applique pour des travaux qui peuvent paraître moins structurants mais qui augmentent la valeur de votre logement aux yeux du fisc et donc vos impôts locaux. "Toute nouvelle construction est concernée s'il est impossible de la déplacer sans la démolir (on dit qu'elle est fixée au sol à perpétuelle demeure)", résume le site service-public.fr sur cette autre page.
On pourra citer par exemple:
- les terrasses
- les piscines
- les vérandas
- les abris de jardin
- les garages
- les panneaux solaires
On notera que le propriétaire doit payer une taxe d'aménagement, que l'on surnomme parfois aussi "taxe sur les abris de jardin". En réalité, cette taxe s'applique pour toutes les constructions, reconstructions ou agrandissements de bâtiments lorsqu'on a besoin d'un permis de construire, d'un permis d'aménager ou d'une autorisation préalable.
"La taxe d’aménagement est due pour toute création de surface de plancher close et couverte dont la superficie est supérieure à 5 m2 et d’une hauteur de plafond supérieure ou égale à 1,80 mètre, y compris les combles et les caves. Les abris de jardin (même démontables) ou toute autre annexe que vous seriez susceptible de construire à l’extérieur de votre maison entrent aussi dans le champ de la taxe d'aménagement", précise Bercy sur cette page. Pour les piscines et les panneaux solaires, une taxe d'aménagement forfaitaire (en fonction de la surface) s'applique. En revanche, cela ne s'applique pas aux autres installations ouvertes comme les terrasses.
Les logements neufs
Le fisc réclame aussi qu'un propriétaire transmette une déclaration après l'achèvement d'une maison individuelle neuve (déclaration modèle H1) ou d'un appartement neuf (déclaration modèle H2).
En cas de changement de destination d'un bien
Si vous transformez un local pour en changer de destination (par exemple afin de passer d'un local à usage commercial à un local à usage d'habitation), vous devez également le déclarer au fisc. Cette fois-ci, il faudra remplir la déclaration modèle IL.
Votre agence immobilière Citovendu pourra vous orienter vers le professionnel adapté à votre situation.
Nous sommes à votre service au 046889364 ou bien à [email protected]
Non, un simple accord écrit du vendeur ne suffit pas à valider une vente immobilière
La Cour de cassation estime qu'il faut qu'une promesse de vente soit signée, avec des précisions sur les modalités de vente et les clauses suspensives, afin d'engager les deux parties.
Ce n'est pas parce qu'un acquéreur accepte d'acheter un bien immobilier au prix demandé que la vente est certaine et que les deux parties sont définitivement engagées.
Pour la Cour de cassation, tant que la promesse ou le compromis prévu pour préciser les modalités de la vente et les conditions suspensives n'est pas signé, acheteur et vendeur sont toujours en période de pourparlers et l'un d'eux peut se rétracter sans commettre de faute.
Un acquéreur reprochait au vendeur d'un immeuble de l'avoir vendu à un autre alors qu'ils avaient tous deux signé un accord, quelques mois plus tôt, précisant qu'ils étaient d'accord "sur la chose et sur le prix". Ce n'est pas parce que cet accord prévoyait la signature d'un acte pour régler les détails que la vente n'était pas certaine et que le vendeur pouvait se retirer, disait-il.
Cet acquéreur, répliquait le vendeur, ne s'est pas présenté aux rendez-vous fixés pour signer cette première convention, le compromis, et même si chacun a signé un document d'accord de principe, la vente n'était pas conclue.
C'est ce dernier raisonnement qui a été admis par la Cour de cassation. Dans la mesure où des détails restaient à régler par la signature d'un acte, la vente n'était pas parfaite et le document d'engagement signé des deux parties relevait de pourparlers. Le vendeur n'ayant plus de nouvelles n'a donc pas commis de faute en cherchant et en trouvant un autre acquéreur par la suite.
(Cass. Civ 3, 11.5.2023, Y 22-11.287).

Depuis 2016 votre agence immobilière basée à Montesquieu des Albères (66740) vous accompagne dans votre projet immobilier.
Pour un achat ou une vente ayez le reflex Citovendu !

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L'audit Energétique : nouvelle obligation depuis le 1er avril.
L'audit énergétique : une nouvelle obligation pour les vendeurs de biens immobiliers Depuis le 1er avril 2023, les propriétaires de certains biens immobiliers sont tenus de fournir un audit énergétique lors de la vente de leur bien. Cette nouvelle obligation a été mise en place afin de mieux informer les acheteurs sur la performance énergétique des biens qu'ils souhaitent acquérir.
Depuis le 1er avril 2023, les propriétaires de certains biens immobiliers sont tenus de fournir un audit énergétique lors de la vente de leur bien. Cette nouvelle obligation a été mise en place afin de mieux informer les acheteurs sur la performance énergétique des biens qu'ils souhaitent acquérir. L'audit énergétique est un document complet qui dresse un état des lieux du bien, identifie ses qualités et ses défauts et propose des travaux à réaliser pour améliorer la performance énergétique du logement. Le document doit être joint aux autres diagnostics de performance énergétique lors de la vente.
Seuls les bâtiments ou parties de bâtiment qui appartiennent aux classes D, E, F ou G à usage d'habitation qui comprennent un seul logement ou plusieurs logements ne relevant pas de la loi du 10 juillet 1965 définissant le statut de la copropriété sont concernés par cette obligation. Les biens classés F ou G sont immédiatement concernés, tandis que pour les autres logements, les propriétaires disposent d'un certain répit. Le document doit être réalisé par un diagnostiqueur immobilier certifié ou une entreprise disposant du label «Reconnu garant de l'environnement» (RGE) pour une maison individuelle, et par un bureau d'études «audit énergétique des bâtiments tertiaires et/ou habitations collectives» ou une société d'architecture pour un bâtiment comprenant plusieurs logements.
L'audit énergétique doit contenir un état des lieux général du bien, reprenant les caractéristiques thermiques et géométriques du logement. Il doit également proposer une estimation de la performance énergétique avant travaux et des propositions de travaux pour améliorer les performances énergétiques du logement. Le document est valable cinq ans et une copie doit être conservée par le professionnel qui l'a réalisé. L'incidence sur les prix des biens immobiliers sera appréciée dans les années à venir, mais cette obligation permettra certainement aux acheteurs de mieux comprendre la performance énergétique du bien qu'ils souhaitent acquérir et aux propriétaires de mieux identifier les travaux à réaliser pour améliorer cette performance.
Immobilier : 80% des agents immobiliers face à des vendeurs inflexibles sur la baisse des prix
Le baromètre Opinion System révèle un moral en berne chez les agents immobiliers français face au ralentissement du marché et à l’entrée en vigueur de la loi Climat sur les passoires énergétiques.
Partenaire de plus de 10 000 agences immobilières à travers toute la France, Opinion System a interrogé ses adhérents pour sonder leur état d’esprit, qu’il s’agisse d’agences membres de réseaux nationaux comme des indépendants, dans ce contexte singulier. Voici ce qu’il faut retenir.
6 agents immobiliers sur 10 pointent une hausse des ruptures de compromis de vente
Le moral des agents immobiliers est en berne selon le dernière baromètre Opinion System. S’il est encore tôt pour parler d’un effondrement du marché, le ralentissement de l’immobilier entraine un certain pessimisme chez les agents immobiliers, que ce soit à propos de l’accès des primo-accédants à la propriété (87%), des conditions d’accès au crédit immobilier (80%), de la stabilité des prix de l’immobilier (57%) ou encore des perspectives économiques du secteur (55%).
D’une manière générale, la confiance des acheteurs et des vendeurs est un sujet d’inquiétude pour respectivement 59% et 55% des professionnels de l’immobilier.
Des craintes qui se confirment sur le terrain, 89% des agents immobiliers ont constaté les difficultés grandissantes rencontrées par les acheteurs pour obtenir un crédit…
Près de 6 sur 10 pointent même une hausse des ruptures de compromis de vente, faute d’accord de la banque, alors même que 63% des professionnels constatent les efforts des acheteurs pour augmenter leur apport en capital.
Lutte contre les passoires énergétiques : de bonnes mesures… une mauvaise exécution
Interdiction de hausse des loyers depuis août 2022, et désormais interdiction de location depuis 2023 : les premières mesures de la loi Climat concernant les passoires énergétiques entrent en vigueur.
Alors que France compte 5,2 millions de résidences principales de classe énergétique F ou G – soit 17,3% des résidences principales –, ces mesures sont perçues sur le principe de manière positive par une large majorité des agents immobiliers : 85% d’entre eux considèrent qu’il s’agit d’une bonne initiative.
Néanmoins, 80% d’entre eux considèrent que les modalités d’exécution de ces mesures est mauvaise. Des craintes qui font écho à celles partagées par de nombreux professionnels du secteur de la transition énergétique, qu’il s’agisse du manque d’accompagnement des ménages, de la baisse générale de certaines aides ou encore du manque de professionnels pour réaliser les diagnostics obligatoires comme pour mener à bien les travaux…
Le secteur de la rénovation énergétique ne semble pas prêt à accompagner une transition aussi rapide et les agents immobiliers sont bien placés pour le constater.
Les vendeurs campent sur leurs positions
Les acheteurs tentent de reprendre la main. Les vendeurs n’acceptent pas la nouvelle donne et campent sur leurs positions.
Les particuliers s’adaptent-ils à cette nouvelle donne ? Leurs exigences changent-elles ? Pas vraiment du côté des vendeurs, de l’aveu des professionnels : 8 agents sur 10 constatent qu’ils n’ont pas ajusté leur prix de vente pour suivre l’évolution du marché, et qu’ils préfèrent maintenir, contre leur avis, des prix supérieurs à leur estimation.
De leur côté, les acheteurs semblent jouer la montre : seuls 31% des professionnels ont observé une accélération des projets, malgré le durcissement des conditions de marché. Dans un contexte de forte hausse des tarifs de l’énergie et face aux nouvelles contraintes nées de la loi Climat, plus d’un tiers d’entre eux (37%) ont relevé l’exclusion des biens les plus énergivores de la sélection des aspirants à la propriété.
Quelques mois seulement après l’entrée en vigueur de nouvelles obligations de rénovation énergétique, près d’1 professionnel sur 2 note leur utilisation comme levier de négociation (47%). Un chiffre à mettre en perspective avec l’accélération progressive de la mise en vente de passoires thermiques constatée par 39% des agents immobiliers.
Autant de considérations qui entrainent un allongement des délais de transaction pour 86% des professionnels. Conséquence : 70% des professionnels témoignent de difficultés à identifier des biens à vendre, et 57% des biens à louer.
« Cette étude souligne le rôle essentiel de l’agent immobilier pour accompagner les particuliers dans la prise en compte du nouveau contexte de marché. S’il n’est pas surprenant de voir qu’un vendeur souhaite vendre le plus cher possible, et qu’un acheteur souhaite trouver un bien au meilleur prix, il y a un important travail de pédagogie à mener pour tenir compte de la situation économique ou encore de la montée en puissance de la valeur verte dans l’immobilier qui est devenue une réalité très concrète », explique Samantha Domingues, Directrice Générale Adjointe d’OpinionSystem.
« Cette étude souligne le rôle essentiel de l’agent immobilier pour accompagner les particuliers dans la prise en compte du nouveau contexte de marché. S’il n’est pas surprenant de voir qu’un vendeur souhaite vendre le plus cher possible, et qu’un acheteur souhaite trouver un bien au meilleur prix, il y a un important travail de pédagogie à mener pour tenir compte de la situation économique ou encore de la montée en puissance de la valeur verte dans l’immobilier qui est devenue une réalité très concrète », explique Samantha Domingues, Directrice Générale Adjointe d’ OpinionSystem.
«Dans un contexte général difficile, il est par ailleurs intéressant de souligner la confiance et la combativité des professionnels, qui certes sont inquiets de la situation mais restent pour l’instant majoritairement sereins quant aux perspectives de développement de leur agence et au maintien des emplois. Il est également intéressant de constater que les agents immobiliers, s’ils jugent sévèrement les modalités d’application de la Loi Climat, sont toutefois très favorables à la lutte contre les passoires thermiques ».
Balcon, extérieur, piscine … Ces caractéristiques qui font grimper les prix de l’immobilier
Dans un contexte baissier pour le marché de l’immobilier les biens avec balcon, terrasse, jardin ou piscine se vendent toujours plus cher.
Balcon, terrasse, jardin, piscine… Les accès extérieurs ont-ils conservé la côte qu’ils avaient obtenu post pandémie ? Quelle valeur ajoutée représentent-ils désormais, dans un contexte baissier pour le marché de l’immobilier ? Meilleurs Agents, spécialiste de l’estimation en ligne, révèle l’impact des accès extérieurs sur le prix des biens dans les 50 plus grandes villes de France.
En 3 ans, le prix des appartements ayant un balcon ou une terrasse a augmenté en moyenne de +21,5%
Alors que les prix de l’immobilier ont augmenté de +16,5% dans les 50 plus grandes villes de France sur les trois dernières années, il semblerait que les appartements avec accès extérieurs aient porté cette dynamique. Sur ces grandes métropoles et sur les trois dernières années, le prix des appartements ayant un balcon ou une terrasse a augmenté en moyenne de +21,5% contre seulement +15% pour ceux qui n’en possèdent pas.
Un appartement avec balcon ou terrasse se valorise +9,7% plus cher dans les 50 plus grandes villes de France
Même si le boom post-Covid des prix des biens avec balcon ou terrasse a récemment atteint son plafond de verre en février dernier, cette caractéristique reste un atout à la revente. De fait, la présence d’un balcon ou d’une terrasse représente à date une plus-value de +9,7% lors de la revente d’un appartement dans les 50 plus grandes villes de France.
Si l’on se concentre sur les appartements dans les 10 plus grandes villes de France, posséder cet espace extérieur peut constituer une valeur ajoutée de +9,9% en moyenne comparé à un appartement qui ne possède ni balcon et terrasse. Cependant, la valorisation de cette caractéristique est encore plus importante dans certaines villes du Top 10. Ainsi, la présence d’un balcon ou d’une terrasse fait augmenter le prix d’un appartement marseillais en moyenne de +15,4% par rapport à son équivalent sans extérieur, de +10% à Nice et de +9,8% pour un appartement situé à Montpellier suivant la même logique.
Concrètement en terme de plus-value au 1er mai 2023, un appartement de 45 m² situé à Lyon sans accès extérieur se vend en moyenne 5 099€ du m² contre 5 441€ pour un même bien qui dispose d’un balcon ou d’une terrasse, soit une différence de prix total de 15 373 € !
“En France et particulièrement dans les grandes villes, le marché se contracte, avec notamment des prix en baisse et des taux de négociation de prix qui augmentent. Nous avions observé un réel engouement pour les balcons et terrasses à partir du début d’année 2021, dans un contexte post-crise sanitaire. Cette tendance n’est plus d’actualité en 2023, avec une hausse de prix moyenne autour de +2% depuis 1 an pour les 2 types de biens. Toutefois, il est clair que les appartements dotés de balcon ou de terrasse auront plus de force à la négociation que ceux n’en disposent pas, surtout dans les secteurs où la demande est plus importante”, analyse Barbara Castillo Rico, Responsable des études économiques chez Meilleurs Agents.
+4,2% pour une maison avec un jardin
En 2023, le jardin n’est plus seulement un espace supplémentaire mais un critère de choix important pour les Français. Ce constat, votre agence Citovendu de Montesquieu des Albères l'a également fait. Ainsi dans les 50 plus grandes villes de France, une maison avec un extérieur tel qu’un jardin se valorise en moyenne +4,2% plus cher qu’un bien comparable sans extérieur, une valeur ajoutée qui atteint +7% dans les dix plus grandes villes de France.
+7,6 % pour un bien avec piscine
La présence d’une piscine est un autre atout de taille pour améliorer la qualité de vie… Et augmenter la valeur immobilière d’un bien ! Dans les 50 plus grandes métropoles de France, cette valeur ajoutée s’élève à +7,6 % en mai 2023. Votre agence immobilière Citovendu dispose en portefeuille de biens avec piscine. N'hésitez pas à nous contacter au 046889364 ou bien vous rendre sur notre site www.citovendu.fr.
« Alors que les interdictions de construction de piscines privées se multiplient en France suite à l’épisode de sécheresse de l’été 2022, la présence d’une piscine représente toujours un facteur clé de plus-value à la revente. Dans un contexte inflationniste, il est toutefois primordial d’estimer correctement la valeur de son bien et les travaux nécessaires à la réalisation de la piscine pour s’assurer d’une réelle valeur ajoutée. La décision d’investir doit être prise en fonction des circonstances individuelles de chaque propriétaire et de son objectif à long terme pour la propriété», précise Barbara Castillo Rico.
Source : Meilleurs Agents